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"Histoire de mes seins"

Posté : 19 mai 2015, 13:21
par bebe78
un joli petit livre illustré par Wolinski, plein d'humour et très sensuel

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"Ces seins-là ont choisi de s'exprimer par la voix de leur propriétaire. Leurs aventures, leur premier soutien-gorge, leur premier amour... Ronronnants ou rugissants, rebelles ou amoureux, en colère ou émoustillés, ils sortent de leurs bonnets, volent de leurs propres ailes... ils racontent tout, et d'abord comment, de handicaps, ils se sont transformés en atouts !
Voilà donc le parcours sentimental et sensuel d'une paire de seins, depuis le moment où ils ont jailli sur le torse d'une petite fille étonnée jusqu'aux jours où, découvrant leur pouvoir, ils jouissent et s'amusent des regards qu'on leur porte, des situations surprenantes et cocasses qu'ils provoquent, des réactions qu'ils suscitent... "

l'auteure avec Wolinski devant des illustrations du livre

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Re: "Histoire de mes seins"

Posté : 19 mai 2015, 15:57
par Fred75012
Merci pour cette découverte, très sympa, je ne connaissais.

Re: "Histoire de mes seins"

Posté : 27 mai 2015, 18:18
par ppraud
ce livre est sorti le jour de la st valentin en 2008.

Re: "Histoire de mes seins"

Posté : 13 juin 2015, 17:37
par acolyte
il m'a l'air fort intéressant ce bouquin!


extrait :
"Vers 13 ans, ma mère m'a traînée aux Galeries Lafayette pour m'acheter un soutien-gorge. Elle disait que j'avais hérité de sa poitrine généreuse et qu'elle voulait faire pour moi ce que sa propre mère n'avait pas fait pour elle. «Si on la soutient assez tôt, ta poitrine aura peut-être des chances de ne pas s'effondrer comme la mienne», affirmait-elle. Bras dessus, bras dessous, nous avons donc pris le métro jusqu'à la Chaussée d'Antin. Ma mère s'est dirigée vers le rayon «enfants» et a dit à la vendeuse : «Je cherche un soutien-gorge pour ma petite fille.»
Je portais un grand manteau. La vendeuse m'a demandé de l'ouvrir. J'ai répondu non. «Allez, ouvre ton manteau», insistait maman. Nan. «Allez, ouvre-le !» Nan ! Je me suis butée un bon bout de temps, et puis j'ai fini par l'ouvrir. Ce que je craignais est arrivé : la vendeuse a poussé un cri en mettant sa main devant sa bouche. «Ah non, je regrette, nous n'avons certaine­ment pas cette taille de bonnets !» Elle avait l'air aussi terrifié que si j'avais été un exhibitionniste ouvrant son manteau à la sortie de l'école !...
"

c'est vrai qu'elle a une poitrine d'envergure !

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